Avec ce troisième album, où la voix d’Hannah Reid est sans cesse mise en valeur, le trio britannique joue à fond la carte de la pop, rehaussée d’effets synthétiques.
Des fans de leur tube Wasting My Young Years (2013) pourraient ne pas aprécier l’excès de joliesse et de sucre, mais London Grammar assume son côté kitsch et trace sa route avec brio.